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    Pourquoi 
        Truffaut insiste-t-il tant sur les gros plans de Catherine? 
        
      Le Tourbillon de la vie  
      Elle avait des bagues à chaque doigt, 
          Des tas de bracelets autour des poignets, 
          Et puis elle chantait avec une voix 
          Qui sitôt m’enjola. 
          Elle avait des yeux, des yeux d’opale, 
          Qui me fascinaient, qui me fascinaient. 
          Y avait l’ovale de son visage pâle 
          De femme fatale qui m’fut fatale (bis). 
          On s’est connu, on s’est reconnu, 
          On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu de vue, 
          On s’est retrouvé, on s’est réchauffé, 
          Puis on s’est séparé. 
          Chacun pour soi est reparti 
          Dans l’tourbillon de la vie. 
          Je l’ai revue un soir, haie, haie, haie 
          Ça fait déjà un fameux bail (bis). 
          Au son des banjos je l’ai reconnue. 
          Ce curieux sourire qui m’avait tant plu. 
          Sa voix si fatale, son beau visage pâle 
          M’émurent plus que jamais. 
          Je me suis saoûlé en l’écoutant, 
          L’alcool fait oublier le temps. 
          Je me suis réveillé en sentant 
          Des baisers sur mon front brûlant (bis). 
          On s’est connu, on s’est reconnu. 
          On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu de vue, 
          On s’est retrouvé, on s’est séparé. 
          Puis on s’est réchauffé. 
          Chacun pour soi est reparti 
          Dans l’tourbillon de la vie. 
          Je l’ai revue un soir à là là 
          Elle est retombée dans mes bras. 
          Quand on s’est connu, 
          Quand on s’est reconnu, 
          Pourquoi se perdre de vue, 
          Se reperdre de vue. 
          Pourquoi se séparer? 
          Alors tous deux on est reparti 
          Dans le tourbillon de la vie. 
          On a continué à tourner 
          Tous les deux enlacés 
          Tous les deux enlacés. 
        (Cyrus Bassiak) 
        
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